Parc de la Jacques-Cartier - Rabaska sur la Rivière Jacques-Cartier (27 Juillet 2019)
1 En vert, le Parc de la Jacques-Cartier, avec à gauche la Rivière Jacques-Cartier qui prend sa source dans le Lac Jacques-Cartier (le long de la route 175 direction Saguenay) et son affluent venant de l'Est la Rivière Sautauriski. En rouge, le parcours en rabaska de quelques kilomètres.
2 Vue sur la vallée de la Rivière Jacques-Cartier depuis le Centre d'accueil. On peut comparer le niveau avec la photo n°1 de l'Onglet "Le Sentier des Loups" (début juin 2018) et la n°2 de l'Onglet "L'Eperon" (fin septembre 2018) ! Ici, la Rivière se traversait facilement à pied et l'eau chaude (20°C) attirait de nombreux baigneurs !
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4 Le Pont-Banc au km 18.
5 Vue depuis le Pont-Banc sur la vallée de la Rivière Jacques-Cartier :)
6 En aval.
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8 Point de départ de l'activité "Rabaska au fil de l'eau". La rabaska est une embarcation traditionnelle (canot d'écorce alogonquin qui a servi aux explorateurs à pénétrer l'intérieur des terres) qui peut embarquer une grosse douzaine de passagers. C'est parti pour une heure sur la Rivière avec un guide du Parc naturaliste riche en apprentissages !
9 En 1972, le fournisseur d'électricité Hydro-Québec projette de harnacher (construire des barrages) la Jacques-Cartier mais un fort mouvement populaire, la Bataille de la Jacques-Cartier, l'obligera à renoncer et ménera à la création du Parc National.
10 Le flottage du bois (drave) a été un moyen économique de transporter le bois jusqu'aux usines de pâtes et papier jusqu'aux années 1870 et à l'avènement du chemin de fer. Cependant, le bois flottant finit par se gorger d'eau et par encombrer le fond de la rivière. Cela perturbe grandement l'écosystème pour plusieurs raisons : 1) Les oeufs de ponte des poissons qui sont dessus sont déplacés au gré des courants qui poussent les billots. 2) En se décomposant, les bois pompe de l'oxygène via les bactéries et en prive ainsi les poissons. 3) Le tanin contenu dans le bois est relâché dans l'eau et créé une eau sombre qui absorbe la chaleur du soleil. Une eau plus chaude empêche les poissons de bouger, de se reproduire, etc.